Santé : Les 4 ème journées de perinatalite et les 7èmes journées régionales de la SOGOB se tiennent du 24 au 26 juillet à Bobo Dioulasso
Summary
Du 24 au 26 juillet 2019 se tiendront à Bobo Dioulasso, les 4èmes journées de périnatalité du Réseau mères-enfants des Hauts bassins (RMEHBS) et les 7èmes journées régionales de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB). Placées sous […]
Du 24 au 26 juillet 2019 se tiendront à Bobo Dioulasso, les 4èmes journées de périnatalité du Réseau mères-enfants des Hauts bassins (RMEHBS) et les 7èmes journées régionales de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB). Placées sous le patronage du président de l’Assemblée nationale et le marrainage du ministre de la santé, ces journées se veulent un cadre de partage de connaissances sur les meilleures pratiques en gynécologie et en obstétrique pour l’amélioration de la santé des mères et des enfants.
Dans deux jours, des spécialistes des questions de la santé de la mère et de l’enfant vont se réunir à Bobo Dioulasso, pour échanger sur le thème : « Soins et services intégrés pour l’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant ».
Cette activité rentre dans le cadre des 4èmes journées de périnatalité du Réseau mères-enfants des Hauts bassins (RMEHBS) et les 7èmes journées régionales de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB). Ces journées, faut-il le rappeler, sont une activité constante et régulière au niveau de la SOGOB mais également du RMEHBS.
En effet, la santé de la mère et de l’enfant a toujours été au cœur des préoccupations de la SOGOB et le RMEHBS. S’inscrivant dans la logique que l’union fait la force, les deux associations ont donc décidé cette année d’organiser conjointement leurs journées.
L’objectif étant de partager leurs connaissances sur les meilleures pratiques en gynécologie et en obstétrique pour pouvoir améliorer la santé des mères et des enfants mais également partager les expériences par rapport aux pratiques dans les différents centres de santé. « Nous attendons une bonne participation avec des échanges d’expérience des différents participants. Nous voulons également que les participants puissent formuler des recommandations pour chaque site, afin que la pratique s’améliore au fur et à mesure », a souhaité le président de la SOGOB, le Professeur Ali Ouedraogo, gynécologue obstétricien au CHU de Tengandogo.
Madina Belemviré